frais notaire

Lors de l’achat d’un bien, les frais que vous devez verser au notaire sont à la charge de l’acheteur. Ce sont les frais et taxes générés par l’enregistrement de la transaction, vente d’un bien immobilier, auprès d’un notaire. Ce dernier est considéré comme étant le garant de la collecte de ces droits pour le compte du Trésor public.

Il faut donc prendre le soin de bien les calculer, notamment pour savoir si vous avez les moyens de vous en acquitter, mais aussi pour ne pas vous faire arnaquer.

Mais comment faut-il procéder pour pouvoir calculer correctement les frais de notaire ? Et surtout, y va-t-il moyen d’en réduire le montant ?

Comment calculer les frais de notaire ?

Avant l’achat d’un bien, si vous souhaitez calculer les frais que vous aurez à payer, vous pouvez procéder à une sorte de simulation pour être sûr de pouvoir vous acquitter de la somme à verser.

Il faut prendre en compte différents frais. Il s’agit tout d’abord de la rémunération du notaire, ainsi que les débours, qui représentent la somme que le notaire se doit de verser aux tiers auxquels il fait appel tel que des experts ou un syndic de copropriété.

En outre, il faut également prendre en compte les taxes à verser au Trésor public. Tout cela représente entre 7 et 7,7 % du prix de la transaction.

Comment réduire le montant des frais de notaire ?

Si la somme à verser vous paraît trop chère et que vous souhaitez la réduire, cela est possible à travers quelques méthodes.

En principe, l’acheteur qui passe par un professionnel du crédit immobilier Marseille doit mentionner cela dans le compris de vente avec le prix à payer et bien sûr, il doit s’acquitter de cette somme. La première astuce est que l’acheteur peut déduire les frais d’agence de la base taxable, ce qui permet d’économiser à peu près 1.000 euros pour un bien qui en vaut 300.000.

Il faut savoir que les frais de notaire ne s’appliquent pas aux meubles que l’ancien propriétaire a laissé, donc l’idée est encore une fois de déduire une partie de la transaction de la base taxable. Pour ce faire, il faut mentionner séparément dans le compromis de vente les achats de meubles, tout en faisant attention à l’estimation du prix qui peut être contestée par le fisc.

Par Simon